Aide-soignant : le concours, clef de l’évolution professionnelle

Aide-soignant : un métier technique, aux qualifications et missions plurielles, sur lesquelles il est possible de miser pour évoluer et atteindre ainsi d’autres responsabilités, publics ou encore conditions d’exercice. Sésame de cette évolution, vers les postes d’IDE, d’auxiliaire puéricultrice ou d’autres contextes professionnels : le concours.

Concours IFSI : un pas de plus vers le soin

Après trois années d’exercice en milieu hospitalier ou médico-social, les aides-soignants sont autorisés à se présenter à l’examen d’entrée de l’IFSI (Institut de formation en soins infirmiers) quel que soit leur parcours scolaire préalable. Les non-bacheliers sont eux aussi concernés, mais ils devront passer une étape supplémentaire de présélection : deux épreuves générales pour mesurer leurs compétences scolaires.

Pour mieux mettre toutes les chances de votre côté, postulez auprès de plusieurs établissements. Vous multiplierez peut-être stress et examens, mais surtout vous augmenterez mathématiquement l’espoir d’être reçu car votre stratégie de réponse et vos résultats s’améliorent au fil des concours.

Pour préparer les concours :

  • Planchez sur l’analyse écrite de trois situations professionnelles courantes, où seront évalués capacités d’analyse, compétences rédactionnelles, connaissances numériques, et esprit de synthèse.
  • Mettez à profit vos tours de garde, observez et questionnez vos collègues infirmiers sur leurs pratiques et gestes : un moyen concret, sur le terrain, de préparer les tests qui vous attendent. Sachez que si vous êtes reçu, vous vous engagez pour trois ans et demi d’apprentissage, entre stages et cours théoriques.

Auxiliaire puéricultrice : doubler ses compétences

Autre option d’évolution professionnelle : la formation au métier d’auxiliaire puéricultrice. Les titulaires du diplôme d’Etat d’aide-soignant sont en effet dispensés d’une partie des enseignements. Un avantage et un gain de temps conséquent pour qui envisage de se spécialiser, et ainsi de justifier d’une double compétence. La bonne attitude : se renseigner auprès des établissements publics (il y en a 60 environ) qui préparent à prendre soin d’enfants malades comme bien portants, via des stages et des sessions de cours.

Armée et police : vers d’autres cadres d’exercice

Enfin, pourquoi pas l’armée ou la police ? Certains concours des hôpitaux de l’armée et des préfectures de police sont accessibles aux aides-soignants en exercice : EVAT (Engagé volontaire de l’Armée de Terre) et VDAT (Volontaire de l’armée de Terre) en tant qu’aide-soignant, ou bien aide-soignant, aide médico-psychologique ou encore agent qualifié des services hospitaliers auprès de détenus.

Aide-soignant : le concours, clef de l’évolution professionnelle

Aide-soignant : un métier technique, aux qualifications et missions plurielles, sur lesquelles il est possible de miser pour évoluer et atteindre ainsi d’autres responsabilités, publics ou encore conditions d’exercice. Sésame de cette évolution : le concours.

Concours IFSI : un pas de plus vers le soin

Après trois années d’exercice en milieu hospitalier ou médico-social, les aides-soignants sont autorisés à se présenter à l’examen d’entrée de l’IFSI (Institut de formation en soins infirmiers) quel que soit leur parcours scolaire préalable. Les non-bacheliers sont eux aussi concernés, mais ils devront passer une étape supplémentaire de présélection : deux épreuves générales pour mesurer leurs compétences scolaires.

Pour mieux mettre toutes les chances de votre côté, postulez auprès de plusieurs établissements. Vous multiplierez peut-être stress et examens, mais surtout vous augmenterez mathématiquement l’espoir d’être reçu car votre stratégie de réponse et vos résultats s’améliorent au fil des concours.

Pour préparer les concours :

Planchez sur l’analyse écrite de trois situations professionnelles courantes, où seront évalués capacités d’analyse, compétences rédactionnelles, connaissances numériques, et esprit de synthèse.

Mettez à profit vos tours de garde, observez et questionnez vos collègues infirmiers sur leurs pratiques et gestes : un moyen concret, sur le terrain, de préparer les tests qui vous attendent. Sachez que si vous êtes reçu, vous vous engagez pour trois ans et demi d’apprentissage, entre stages et cours théoriques.

Auxiliaire puéricultrice : doubler ses compétences

Autre option d’évolution professionnelle : la formation au métier d’auxiliaire puéricultrice. Les titulaires du diplôme d’Etat d’aide-soignant sont en effet dispensés d’une partie des enseignements. Un avantage et un gain de temps conséquent pour qui envisage de se spécialiser, et ainsi de justifier d’une double compétence. La bonne attitude : se renseigner auprès des établissements publics (il y en a 60 environ) qui préparent à prendre soin d’enfants malades comme bien portants, via des stages et des sessions de cours.

Armée et police : vers d’autres cadres d’exercice

Enfin, pourquoi pas l’armée ou la police ? Certains concours des hôpitaux de l’armée et des préfectures de police sont accessibles aux aides-soignants en exercice : EVAT (Engagé volontaire de l’Armée de Terre) et VDAT (Volontaire de l’armée de Terre) en tant qu’aide-soignant, ou bien aide-soignant, aide médico-psychologique ou encore agent qualifié des services hospitaliers auprès de détenus.

Amandine Chauve

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